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Facebook teste six nouveaux boutons Reactions pour exprimer ses émotions

Facebook teste six nouveaux boutons Reactions pour exprimer ses émotions

Capture vidéo Facebook

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Facebook démarre le test de nouveaux boutons qui viennent compléter le bouton J'aime pour nuancer ses appréciations.

L’information qui tenait de la rumeur a été officialisée par Mark Zuckerberglui-même. Les Espagnols et Irlandais sont les premiers à tester les nouveaux boutons Facebook que le réseau social appelle Reactions.

Pour faire apparaître les six emojis permettant d’exprimer de l’amour, de la tristesse, de la crainte ou de la satisfaction voire de l’humour il suffit de maintenir le doigt appuyé sur le bouton J’aime sur un smartphone, sous Android ou iOS, ou d’y laisser son curseur sur un ordinateur.

Si tout se passe bien pendant les tests, le dispositif sera étendu à tous les utilisateurs de Facebook.

Facebook : pourquoi il n'y aura jamais de bouton « je n'aime pas »
Pour Mark Zuckerberg, Facebook doit rester un lieu d'échanges positifs, et le bouton qu'il a évoqué hier permettra d'exprimer de la sympathie... pas un rejet !

Depuis des années, les membres de Facebook réclament un bouton « Je n’aime pas ». Dans une session de questions-réponses, Mark Zuckerberg, le 15 septembre 2015, a annoncé qu’il travaillait à ce type de bouton... mais qu’il sera destiné à exprimer de la sympathie ou de l'empathie, pas du rejet.

« Les gens réclament le bouton "Je n'aime pas" depuis de nombreuses années, a reconnu Mark Zuckerberg, mais nous ne voulons pas transformer Facebook en un forum où les membres votent pour ou contre les publications des gens. » De fait, le jeune patron a toujours proclamé que son réseau social devait être un lieu positif.

Selon lui, les membres du réseau social veulent en revanche pouvoir exprimer de l’empathie pour une autre personne, lui dire qu'ils la comprennent. Lorsqu’un membre partage un post sur la crise des réfugiés ou le décès d’une personne de sa famille, certains peuvent avoir du mal à cliquer sur « J'aime », poursuit-il.

« Mais ils veulent pouvoir dire qu’ils comprennent ce qui vous arrivent », ajoute-t-il, mais c’est « étonnamment compliqué » à mettre en oeuvre. De fait, il faudra trouver un libellé qui soit suffisamment court, compréhensible… et traduisible. Peut-être « Sorry »…

Mais ce n’est pas tout. Il faut aussi réfléchir à la manière de l’implanter : ce pourrait être un bouton optionnel que l’utilisateur mettrait à la place du bouton « J’aime » ou un bouton apparaissant en fonction du contenu du post.

Autant de questions sur lesquelles se penchent les développeurs du réseau social. « Nous avons une idée qui à notre avis sera prête pour des tests bientôt et selon la manière dont cela se passera, nous la déploierons plus largement », a-t-il conclu.

Source :
Facebook